Si la parole est d'argent, le silence est d'or.



Tu es un personnage silencieux, peu loquace qu'on pourrait même traité de réservé et de peu sociable. Tu as tendance a ne pas dire un mot, à moins qu'on t'adresses la parole, faisant de toi quelqu'un avec un semblant froid et distant. Tu es pourtant d'une rare attention avec tes camarades nomades et tu respectes énormément Heze qui a sut t'accueillir parmi les siens. Sans être un véritable soumis, tu as apprit a maîtriser un peu de sarcasme qui peut te rendre épineux. Avec le temps tu as sus prendre de l'autorité et de l'assurance, te montant du statue de simple objet de divertissement a Protecteur des Nomades. Un rôle, plus que ça, un poste que tu affectionnes tout particulièrement depuis ta totale intégration. Tu en es fier et tu en es devenu digne.

En dehors de ça, tu es un véritable combattant, un guerrier, dont tuer est monnaie courante, a la vivacité et a l'agilité sans pareil. Fantassin au sang froid, tu es fin observateur. Tu es perspicace quand il s'agit de se battre. Stratège en bataille, confiant tout en restant modeste, tu es autant un atout physique que morale. Si beaucoup te sous-estimeront pour ton cruel manque d’éducation et de culture, ils seront surpris de te savoir aussi pointu sur l'anatomie humaine et animale. Points fragiles, points de frappe, tu les connaît sur les bouts des doigts pour les avoirs touchés plus d'une centaine de fois

Mais tu n'es pas une brute épaisse sans cervelle. Tant bien même tes expressions faciales sont rares et se limite a d'inhabituel froncements de sourcils quand quelque chose te chatouille le nez, tu n'es pas un mauvais bougre. Tu es proche de la nature et des animaux, malgré tes origines Okeanos insoupçonnées et bien que tu en ais tué des quantités que tu ne saurais réellement dénombrer, tu as toujours eus plus de respects pour les bêtes que pour les hommes.

Tu n'es rien d'autre qu'un bâtard, Arlsäam, un bâtard qui naquit dans les méandres du district 666 du grand et soit disant si prestigieux domaine aquatique. Ta mère n'en était pas une, où du moins n'a jamais agit comme tel. Tu n'étais pas son premier, ni même son dernier et elle savait pertinemment que tu lui serais arraché un jour ou l'autre. Car ainsi était son destin. Plus objet que femme, elle n'était destiné qu'a procréer, encore et encore, tout en apportant plaisir charnel a son entourage. Ton père qu'en a lui, indiscernable. Sans doute étais-tu comme ces chats, métissés de plusieurs pères.

Avant même d'être né, tu étais déjà marchandise. On ne t'as pas vendu bien chère, une poignet de pièces, tout au plus de quoi s'acheter un sac de riz. Cet argent, pour ta mère ? Bien sur que non. A quoi cela pourrait bien lui servir de toute façon … Ce misérable butin qui ne correspond même pas a ton propre poids terminera dans les poches d'un autre. Le propriétaire de ta genitrice, étroitement lié avec celui qui te donnera un surnom, une arme, et des entrainements intensif pour des combats d'enfants illégaux. A tes six ans son blason t'a été imprimé sur la face intérieur de ton entre-cuisse droite. Tu n'as jamais sut exactement ce qu'il représentait, ce dessin arabesque devenu blanc cicatrice, du moins esthétiquement parlant, car sur la plan moral c'est une toute autre histoire.


Car ce symbole ci était pour beaucoup plus qu'un simple symbole. Il représente la terreur, l'autorité et une poigne de fer sur tout le quartier. Beaucoup de légendes circulent a son sujet et tu ne sais pas si tu dois être chanceux ou non, de l'avoir rencontrer en personne. Ma foie il s'agissait là d'un homme plus ou moins normal, dont la prestance et le charisme faisait frémir les plus faibles de son assemblé. Il t'avait paru presque père alors qu'il était venu vers toi pour te féliciter de tes premières victoires. Tu étais son chouchou, son poulain, celui sur qui il misait quand venaient les grandes parades et les combats à mort. Bien que tu ais été de loin son favoris, jamais ô grand jamais il n'a éprouvé pour toi ne serait-ce qu'un sentiment paternel. Tu n'étais rien d'autre qu'un animal, si tu étais venu a te casser une jambe, soit en sûr, il n'aurait pas hésité a t'euthanasier.u.c

Trois mots ou trois paragraphes, parle nous un peu de ta personne ! Si t'as une passion pour les ananas, on te jugera pas ...