Nebula
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €

Partagez

J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Boadicée
Boadicée
Messages : 18
Date d'inscription : 30/12/2015
J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le Jeu 31 Déc - 0:05
Boadicée

surnom — Brume
âge — 24 ans
date de naissance — 11 janvier 1191
sexe — ♀
orientation — Vers les étoiles
taille — 176 cm
poids — 58 kg
couleurs cheveux et yeux — Sa courte chevelure noir de jais s'élance finement dans le vent en de minces fils de soie, encadrant son visage de quelques mèches rebelles. Détonant sur sa peau lunaire, ses yeux clairs fixent le monde d'un regard sagace et explorateur. Intense. Perçant.
particularité(s) — Des tatouages dévalent le haut de son dos et s'arrêtent aux hanches, formant de grands arabesques tribales noires. Elle s'orne d'un grand collier fait de tissus et de bois, au bout duquel pendent trois clochettes, accrochées par des fils tressés. Deux bracelets, l'un gros et sculpté dans le bois et l'autre fait de deux lanières en tissu entrecroisées, entourent le haut de son bras droit. Ses avant-bras sont constamment couverts de brassards en cuir et ses jambes sont également recouvertes de deux bracelets chaque, ceinturant ses mollets. Elle ne quitte jamais sa lance. Celle-ci est décorée à son bout d'une grande plume de Hulule feru et près de la pointe, quelques plumes de Hulotier ornent la lanière de cuir à laquelle la lame bleutée est fixée.

Elle porte constamment une coiffe, fabriquée à l'aide des plumes d'une Aigrette foisonneuse et de Hulotier, au devant de laquelle se dressent deux cornes sculptées à leur racine. De chaque côté de la coiffe pendent deux fines tresses au bout desquelles sont attachées de petites billes de bois. Il s'agit de la coiffe de son père. Elle s'habille de fourrure, de cuir et de tissu, s'adaptant aux conditions des contrées qu'elle explore. Tout ce qu'elle porte a soigneusement et respectueusement été prélevé des créatures en s'assurant de ne pas les blesser. Ou elle y allait avec la dépouille de la bête trouvée lors de ses explorations.

Elle traîne également une sacoche nommée La sacoche du parfait explorateur par quelques-uns des nomades.
groupe — Nomades
occupation — Chef des explorateurs
habitation — Tout Atlas, mais son bercail est l'île des Constellations, elle n'utilise les escargots qu'en second recours.



à propos de toi — Camille, 18 ans, je fais des rps depuis un bail et je suis en étude de lettres. Wala. °w° Je suis tombée sur votre forum avant, mais y'avait les mises à jour. Jamais vu un forum riche et détaillé où je ne me déplais pas à éplucher encore et encore les annexe. J'me sens comme un p'tit Darwin sans diplôme. Huhu. C'est vraiment agréable. J'ai tellement hâte de voir l'implication des esprits encore plus.

helix kawai
avatar — Originaux
provenance — Sawasawa



mental — Profond. Puissant. Sévère. Elle regarde le monde au-delà de ses iris cristallins, calme et altière. En silence, elle projette son regard telles les grandes ailes de Tlaloc envahissant le ciel. Elle caresse l'atmosphère en louvoyant entre les nuages et la terre. Perchée sur sa monture, assurée et confiante, elle témoigne d'une parcelle de l'histoire. Gardienne des contrées explorées, laissant le vent l'emporter. Ou qu'elle aille, la jeune femme laisse ses pas la guider, la vie la mener. Ni maître ni esclave, celle parfois surnommée La sauvage déambule entre les éléments, s'éloignant des hommes, s'éloignant des querelles fort humaines, des guerres inhumaines et des erreurs trop souvent oubliées. Elle marche, elle court, chevauche et plonge entre rencontres vagabondes. Nomades comme elle. Voyageurs comme elle. Sa mémoire encaisse, enchaîne, tel un Plixyfowl des vents emporté par le Zéphyr déchaîné, imprévisible ouragan. Elle conserve ses trésors, ses souvenances, tel le dernier souffle de vie qu'elle parviendrait à trouver en ce monde déchiré. Elle reconnaîtrait entre mille le visage sombre d'un enfant abandonné, les yeux perçants et purs d'une justice si souvent éloignée, le savoir stricte et avant-gardiste d'un peuple englué, le respect du monde d'un chercheur déterminé... La parole grave et suave du voyageur rencontré.

Boadicée n'oublie jamais.

Et si son corps un jour cédera au retour de la terre, ses souvenirs s'élèveront en guerriers, courant le firmament, chantant des épisodes passés. La rancune conservée envers ces nations aveugles et enfantines ne lui permet pas de reposer son âme vengeresse. Protectrice terrestre, elle pleure les jours sombres comme la main cruelle du maître ayant étouffé son chien. Elle garde son amertume, maudissant des croyances si égoïstes et territoriales, rêvant d'un jour où l'homme reprendra sa liberté volée.

Boadicée rêve, idéalise l'univers qu'elle songe un jour offrir à l'homme reposé.

Elle contient une grande vasque en son sein, qu'elle abreuve de patience et de vaillance, sage maturité mûrissant comme un lierre, grimpant au pied de cette immense coupe. Coupe qui, à chaque seconde de sa vie, s'emplit d'histoire et la forge. Elle accepte les éléments, peu plaintive de ce qu'elle trouve. Nomade constante, elle s'est teintée de nombreux voyages explorateurs, infidèle à la sédentarité, imprévisible quant à ses arrivées. Elle se détache de toute appartenance, migre comme les anciens hérons, lançant devant elle un éternel nouveau départ, impatiente de découvrir le monde. Son cœur d'enfant ose persister en ces moments, faisant briller ses yeux d'amour et de bonheur.

À dos de Bicéphaquus, le vent dans les voiles, la liberté au creux des bras, loin des civilisations, des contraintes, la reine sauvage sent enfin pulser en ses veines la rage de vivre, la passion d'exister. Dans ces moments, on peut l'entendre crier, sous la lune ou sous le soleil, un cri cristallin et heureux, un chant d'oiseau humain. Et ne lui enlevez jamais sa soif d'aventures, la lionne enragée déchirerait les âmes pour sûr. Ses regards ne mentent pas, sa voix calme et clair, finement sévère, cracherait le poison des mots amers, tandis que sa furie déclencherait des tempêtes.

Intense et puissante, Boadicée garde ses combats pour les moments opportuns, voilant ses airs guerriers sous sa faciès de rebelle calme et vigilante.

Âme indépendante, louve solitaire, elle néglige parfois les rares camarades de route qu'elle a connus. Elle tente malgré tout d'entreprendre sa socialisation, prête à abandonner ses airs à l'appel de son guide, exposant son existence à l'importance de la famille voyageuse. Si Beowulf parle, Boadicée écoute et applique. Son oreille toujours réceptive à tout appel vivant. Beowulf la guide, les nomades sont son bercail, la terre où elle peut se reposer quelque peu, les hommes libres.

C'est une nature tribale, froide et quelque peu brutale, mais sa méfiance et sa rancœur cache la graine indécrottable qui siège encore en son cœur, attendrissant son âme sous la beauté des existences présentes. Elle parle peu, souvent moralisatrice ou sévère, elle mène les explorateurs par sa vaillance et la passion du courage. Mais ses mots cherchent à convaincre, à aimer, à protéger et les discussions avec elle sont très peu chères payées. L'abandon n'est pas une option, La sauvage ne craint pas ses actions et ne doute pas de sa parole, la main sur le cœur, l'inconnu en âme-sœur.

Ses talents d'exploratrice l'ont mené sur la route de sa monture, inséparable compagnon, créature sagace et muette, au regards lointain et à la liberté conservée. On dit qu'ensemble, le Bicéphaquus et l'humaine errent sur terre, frère et sœur, taciturnes et meneurs. Chacune de leur apparition s'agrémente de la brume nocturne, dans laquelle tinte en écho les clochettes de Boadicée, montée sur son compagnon. Un jour, sans prévenir, dans le brouillard, ils arrivent parmi la civilisation, fantomatique apparition puis repartent à travers le manteau gris de la nuit, voilés sous les brumes, la musique des grelots en témoin de leur passage éphémère.

Depuis ce temps, lorsque la brume se lève, les gens savent que Boadicée n'est pas très loin. C'est une légende, l'ombre bestiale à tête cornée apparaissant ainsi, voilée, silencieuse. On l'appelle comme le manteau qui recouvre son arrivée et son départ, Brume.


avis sur les siècles abandonnés — Elle grogne, elle gronde, serre les dents et poignarde de ses yeux d'azur. Ça n'a rien de divin, rien de sacré, ce ne sont pas ces entités créées qui détruisirent le monde, mais les hommes aussi égocentriques et cruelles qu'ils sont. Boadicée ne croit pas aux dieux. Ils ne sont rien. Ce ne sont pas eux qui ont décidé du sort de l'humanité, mais celle-ci et Brume ne peut s'empêcher de les maudire pour cela. Pour elle, les Siècles Abandonnés ne sont qu'une image de la destruction égoïste du pouvoir. Et la terre en pâti. Elle est d'avis qu'il faut comprendre cette période afin de protéger leur existence d'une nouvelle apocalypse hypocrite.

Boadicée juge que les hommes ne méritent pas encore le pardon, elle leur en veut profondément, elle pleure un passé florissant.


histoire
---

Quand Manannan voulut entreprendre un voyage qui le mènerait au pied du pic Summus, il ne se doutait pas qu'il y trouverait également sa descendance en chemin, mais qu'il ne foulerait jamais la montagne. La fleur des neiges tant convoitée par les botanistes s'y trouvait, inviolée, sauvage, libre. Et Manannan désirait contempler cette petite dryade nordique dans la plus grande piété. Il avait fait ses preuves, surnommé Chaman, en parcourant la surface de la terre d"Earthea par cent fois, offrant conseil, volonté, enseignements. Fasciné, amoureux et délicat, il ramassait chaque plume tombée avec une précaution sacrée et s'appropriait les fourrures en grand renfort de remerciements solennels. Le sacré n'était pas plus les dieux que la nature. La sagesse dont l'homme faisait preuve lui insufflait de nombreux choix éclairés et qui s'avérèrent fructueux, si bien, que Manannan laissa errer son bon cœur sur les plaines, l'instinct guidant ses actions comme les rêves éveillent les chamans.

En foulant les terres inconnues, Manannan s'était senti empreint d'une fébrilité nouvelle, cachée par son calme ancestral, qui lui susurrait à l'oreille que le voyage serait sûrement des plus fabuleux. Il y crut sans la moindre hésitation et c'est le vent dans les voiles, les yeux d'azur perçant l'horizon qu'il fit face à la beauté des explorations. Si ce n'eut été d'une jeune nomade, son Plixyfowl, Bételgeuse, aurait achever sa vie en chemin, dévorée par un prédateur à quatre pattes. Manannan eut la chance de rencontrer également la maîtresse de celui-ci et fut ravi d'apprendre qu'il aurait encore la chance de courir contre les vents et qui plus est, en rivalisant contre un prédateur dompté.

Il ne sut pas, à cet instant, que la nomade deviendrait porteuse de ses enfants.

---

Quand Aniouk, femme nomade, entreprit ses années solitaires, exploratrice intrépide et austère, elle ne se doutait pas qu'au-delà de ses constellations, elle rencontrerait le plaisir de la compagnie. Loyal à son guide, elle songea pourtant à la liberté des grandes contrées inexplorées et la bonté du vent sur le monde silencieux. Chevauchant son Bicéphaquus, la jeune femme à la chevelure argentée ne sut reprendre la vie grégaire et longea Atlas de long en large, carnet en main, notant découvertes et observations. La maturité dont elle fit preuve ne pallia pourtant pas à son asociabilité et Aniouk troquait l'humeur loquace contre le silence riche des ermites. C'est lors d'un de ses voyages de retour, ayant cru entendre Beowulf, qu'elle fit l'étrange rencontre d'un jeune homme élancé, calme et patient. Aniouk dû toutefois retenir sa monture afin de prouver la bienveillance dont elle pouvait faire preuve, car l'étranger observait le prédateur gronder avec désarrois, son Plixyfowl en proie à la frayeur effarante. Si ce n'eut été d'elle, Manannan se serait retrouvé seul en ces contrées.

Aniouk ne sut jamais vraiment comment leur histoire commença. Peu sentimentale, protectrice et indépendante, elle dut creuser durant des années avant de comprendre l'union qui leur était destinée. Mais de grande fidélité et de sincérité, Aniouk ne sut jamais abandonner son compagnon et ce fut avec surprise (et accident majoritairement) qu'elle vit durant neuf mois son ventre gonfler. Ce ne fut pas très pratique afin d'explorer et ce fut après une décision éclairée que le couple s'installa avec les nomades afin de mieux offrir leur enfant au monde. Enfant aimé et protégé. Aniouk découvrit la douceur humaine et la clarté enfantine, la maternité ne prit pas beaucoup de temps avant de revenir à grand galop, faisant de l'exploratrice une mère à temps plein.

Manannan et Aniouk ne se doutèrent pas que leurs enfants leur ressembleraient autant.

---

Quand Boadicée prit le chemin de la solitude, avide d'aventures et sage d'histoires, elle ne se doutait pas que les traces de ses parents frôlaient de si près les siennes. Son regard puissant dardait son attention sur les mêmes paysages, fière exploratrice, très active dès son jeune âge. Incapable d'attendre les groupes, elle s'élançait en avant avec prudence, identifiant les pistes avec minutie et témoignant des éléments avec patience. Si Manannan avait été en vie en ce temps, il aurait pu être heureux des profonds enseignements de sa fille aventurière. D'aussi loin qu'elle se souvienne, Boadicée ne connut ni attache, ni sédentarité, affluant avec les saisons et les vents, sortant des brouillards telle une apparition. La coiffe de son père et la lance de sa mère furent les seuls témoins de son enfance, muets et scrutateurs, protégeant son existence et offrant souvenances. Tout comme sa mère avant elle, celui qu'elle vit comme un guide resta sa voix conseillère et jamais Boadicée n'alla à l'encontre de Beowulf ou des nomades, fraternelle et guerrière.

Sa rencontre avec Argo, fidèle monture prédatrice, ne fut que l'identité exploratrice qu'elle recherchait et dès lors, elle ne lâcha plus le mors, refusant de se séparer de cette liberté euphorique. Elle ne pensait pas qu'en plongeant dans les presqu'îles, l'animal jugerait de sa témérité et testerait sa valeur jusqu'à la fin de sa vie. Chose ardue et tâche lourde. Boadicée songea à continuer sa route en solitaire, comme à son quotidien, mais il fallut compter sur le caractère de la bête afin de la forcer à accepter compagnie pour le restant de ses jours. Après le temps des connaissances, la jeune femme finit par trouver en la créature la force complémentaire qu'il lui fallait afin de courser les éléments planétaires. Argo lui permit d'ouvrir les portes d'Atlas et contre vents et marées, Boadicée fendit le monde de sa nature sauvage. Elle quitta les sentiers tracées, s'engouffra dans les passages damnés et contempla les nations s'entre-tuer.

Elle prêta l'oreille au deuil de Caelestis et pleura la mort d'une consœur humaine et chanta la libération d'une âme enchaînée. Elle engagea son existence à se laver de toute guerre vaine et se retira du conflit marin, attendant les nouvelles de la dictature, rêvant du jour où ce sera la fin des parjures.

Non. Boadicée n'a que faire des querelles grégaires. Elle n'en a ni remords ni doute. Elle ne s'exposera pas au conflit de zizanie, dissociant l'humanité en ennemis futiles.

Dès lors, elle parcourt encore Atlas, sans se lasser des terres sauvages, et si de sa vie doit-elle payer, elle n'a pas peur de se sacrifier.

Et le son des musiques résonne encore à ses oreilles, le bruit des pas des voyageurs battant les sables, les rassemblements sous les étoiles, autour des flammes en langue gigantesques, léchant le ciel de mille petites étincelles, ne quittent plus ses souvenirs. Ce sont ses mélopées, ses présences qu'elle désire lorsque son monde est sombre ou vide et tout se réchauffe et s'illumine, la rassurant en ces heures.

Boadicée parce qu'elle est veuve de la terre brisée. Les clochettes tinteront, vibrant dans le ciel, cristallines et messagères. Et elle fera tout pour conserver la terre.

---


Baguette D. Pain
Baguette D. Pain
Messages : 111
Date d'inscription : 18/07/2015
Re: J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le Jeu 31 Déc - 1:05
OMFG LA SUIIIIIIIIIIITE
non sérieux c'est wow~
bienvenue, bon courage ♥️
Aamon
Aamon
Messages : 86
Date d'inscription : 23/07/2015
Re: J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le Jeu 31 Déc - 14:28
Quel beau personnage c:
Bienvenue !
Cain von Heimdall
Cain von Heimdall
Messages : 522
Date d'inscription : 06/05/2015
Re: J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le Jeu 31 Déc - 14:33
Bienvenue officiellement à toi !
J'ai hâte de pouvoir lire ta fiche en entière héhé ♥
Aloys van Meeteren
Aloys van Meeteren
Messages : 82
Date d'inscription : 27/12/2015
Re: J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le Jeu 31 Déc - 14:38
Cette fiche, cet avatar ... (Sawasawa RPZ)
Hâte de voir la suite #^#
Bienvenue /o/
Beowulf
Beowulf
Messages : 62
Date d'inscription : 14/07/2015
Re: J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le Jeu 31 Déc - 19:45
Coucou, moi c'est le patron ♥♥

Bienvenue, j'suis content y'a plein de nomades badass qui débarquent 8D
Boadicée
Boadicée
Messages : 18
Date d'inscription : 30/12/2015
Re: J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le Ven 1 Jan - 0:06
Je. Je. Merci beaucoup de tous ces bienvenu. ♥
J'espère que la finition du mental ne vous décevra pas... ;w; J'en garde en réserve afin de mettre tome 2 de sa psychologie dans la fiche de liens. :D

Merci encore, je tente de finir tout cela ce soir ou demain, hihi ~

J'vous admire patron... ♥♥ .w.

EDIT : Z'AI TERMINÉ. À 2 h 00 du mat. j'suis pas habituée, pardonnez le flop totale de l'histoire... J'me rattraperai en rp. ;__;

Oh, et c'est voulu que tout semble... éthéré... nébuleux... peut précis... ça permet de garder une part de mystère pas mystérieuse, mais si ça ne convient pas, je vais étoffer. :p
Constellation
Constellation
Messages : 38
Date d'inscription : 29/12/2015
Re: J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le Ven 1 Jan - 15:49

LES DIEUX SE PRONONCENT

BIENVENUE DANS LE MONDE DE NEBULA.
- CONGRATULATION ! -

orientation — Vers les étoiles
Le destin veut que je te valide avec ce compte
COMMENT DIRE QUE ta fiche est super belle & super bien écrite & que ton personnage est grave cool/attachant je, ça m'a fait de l'effet mais dans le bon sens ///
Bienvenue à toi parmi nous en tout cas ♥

On te conseille de faire un tour dans le bottin des avatars, les carnets de relation, les demandes de RP, l'index des DC et TC si ce n'est pas ton premier compte. Amuse toi bien parmi nous ♥.

Contenu sponsorisé
Re: J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée écrit le

J'ai perdu la piste du Loup blanc, j'ai erré sans trouver l'Orient ► Boadicée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Symphonie ► Boadicée
» boadicée. i'm on my way to what i want from this world.
» Lupin - De Chaperon à Loup, il n'y a qu'un pas. [ U.C ]
» Lowell, le loup roux apprivoisé
» à corps perdu ♦ svea

Nebula :: 
Le début d'une nouvelle histoire
 :: Création du personnage :: Validations
-