Nebula
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Dead end - Chopin

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Cain von Heimdall
Cain von Heimdall
Messages : 522
Date d'inscription : 06/05/2015
Dead end - Chopin écrit le Ven 12 Juin - 3:06
Mauvaise journée. Très mauvaise d'ailleurs. Tout les trains de l'Aquaterra étaient suspendus pour la journée & tu te retrouvais désormais coincé à Earthea. Qu'elle plaie, il arrivait que tu passes de temps en temps à Demétrio le temps d'un après midi, mais tu n'aimais pas pour autant cette ville. Tu trouvais qu'elle dégageait une odeur perfide sur long terme & ça te donnait le vertige. Non, décidément tu aurais préféré te retrouver dans ce temple qui était aussi ta prison. Tu savais au moins ou tu te trouvais, tu connaissais chaque peinture, chaque ligne & fissure. Tandis qu'ici, tu étais perdu.

Tu avais commencé à errer sans trop savoir où est ce que tu te rendais. Avançant au gré du vent, allant tout simplement là où t'es pas te conduisaient. Le temps que tu rejoignes les sous sols de la capitale, l'orage lui avait explosé & la pluie battait à son comble. Tempé jusqu'aux os tu te retrouves alors perdu dans le labyrinthe du sub terram. Impossible de savoir par où tu es venu ou même ou est ce que tu as atterri. Tout ce que tu pouvais confirmer c'était que désormais tu étais à l'abri des intempéries. Tu jettes un rapide coup d'oeil dans l'endroit où tu venais de mettre les pieds. Un cimetière ? Sous terre ? Tu déglutis avant de retirer ton manteau encore imbibée de l'eau de pluie et de le poser sur une des pierre tombale. La terre, elle, s'agrippait à tes bottes tout aussi arrosée. Génial de la boue.

« J'aurais pas pu tomber dans un endroit plus pourri. » lâches-tu inconsciemment à haute voix. De toute manière, y avait personne ici pour t'entendre. Tu donnes un énorme coup de pied dans une dalle funèbre qui se faisait plutôt vielle, ou tu moins assez pour s'écrouler. Effectivement, ce coin était vraiment pourri. Tu te laisses tomber en arrière posant ton postérieur su la première tombe pas trop sale à ton goût. Décidément, tu détestais ce domaine. En plus d'être bloqué dans ce coin pourri, il fallait qu'il pleuve et qu tu te retrouve dans un coin des moins fréquentable.

« Vous savez quoi les gars ? Te voilà à parler aux morts, j'vous déteste vous & votre domaine.»
Les nerfs.
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Re: Dead end - Chopin écrit le Dim 14 Juin - 6:57

MUSIQUE (conseillée) ►Assis sur une roche, les jambes croisées et les yeux clos, tu prends d’énormes inspirations, pour ensuite relâcher l’air ingérée d’un seul coup. Tu répètes de manière si candide cette expérience, croyant que cela allait te calmer. Tu décidas de te concentrer sur le son des gouttes de pluies, qui faisaient écho dans cette petite caverne qui te servait de maison, ayant une vue sur ton cimetière. Cela ne faisait que l’effet contraire. Tu arrachas un caillou du sol pour l’abattre violement sur le corps inerte d’un garçon. Une victime de plus. Tu n’avais pu te contrôler comme Aurore te l’avais appris autrefois. Mais tu ne pues t’en empêcher. Il n’y a que quelques heures de cela, quelques petits garnements d’une vingtaine d’années étaient venus faire les malins dans ton entourage, dans TA FAMILLE. Ils avaient pilés TA FAMILLE, ils avaient volés TA FAMILLE, ils s’étaient moqués de TA FAMILLE. Commettre ces pêchés mérite une punition en or, digne ce mal commis à ceux qui repose aujourd’hui en paix. Tu vins alors à la rencontre des garçons, le sourire colérique à la porter de tes lèvres. Tu ne voulais qu’une chose. Du rouge, du rouge et du rouge encore sur ton visage couvert de blanc. Tu voulais faire de cet assassin une victime. Tu n’en pris qu’un seul et rapidement, un autre des gamins réprimanda ton otage. C’était son frère. Mon dieu. QUEL JOIE. Il t’a volé tes membres de famille? Il te les a pilé? Il verra ce qu’il verra à son tour, après que tu aies fait subir le même sort à son frère. Tu l’entrainas contre toi, l’assommant assez pour qu’il évite de gigoter dans tous les sens, mais qu’il reste conscient. Tu pris une roche bien aiguisée, la rapprocha du poignet de ta proie et regarda le frère de celui-ci dans les yeux – le regard creux. « Alors comme ça on veut jouer avec ma famille?! Laisse-moi te montrer une technique à l’ancienne de torture que j’ai appris dans mon vaste passé!» Tu vins cisailler la peau, les tissus musculaires, les nerfs, les veines, bref, tout ce qu’il y avait sous le passage de ta roche pour en arriver à tirer tous ce qu’il pouvait bien s’y trouver lentement. Tu lanças ce qui s’arracha au frère de ta victime. « Petit souvenir! Tu reviendras le voir lorsqu’il sera fraichement fini!» Avant qu’il ne puisse riposter, ses amis l’entraînèrent loin de là. Tu souris et regardas ton nouvel ami. « Alors! Quel est ton petit nom?» Il murmura faiblement, à peine l’entendais-tu. « PLUS FORT MON CHOU SINON JE POURRAIS JAMAIS LE MARQUER SUR TA TOMBE ET TON FRÈRE NE TE RECONNAITRA JAMAIS VU LE PORTRAIT QUE JE VAIS REFAIRE DE TOI HAHAHAH!» Puis, tu l’entrainas dans ta caverne favorite. La torture.

Afin d’épargner les détails, il se restait que quelques tissus musculaires de sa dépouille, alors que tu le faisais brûler membre par membre. Tu avais pris sa peau et l’avais également brûlé. Tu en avais marre de ses nombreuses plaintes et te décidas finalement à l’abattre. Ta vengeance, ton goût de mise-à-mort n’était pourtant pas assouvi. Alors que tu le trainais dans une brouette pour l’enterrer dans le coin de la liste noire, tu entendis un bruit de vacarme. « Un autre. » Pensas-tu les poings serrés. « En espérant que celui-ci puisse assouvir ma soif. » Dis-tu le sourire aux lèvres, une roche dans tes poches. Tout ce que tu entendis entre le temps où tu marchais vers lui et que tu te retrouvais maintenant à quelques centimètres de lui furent :« J'vous déteste vous & votre domaine.»

Tu le ramassas aussi vite qu’il prononça les mots et peut-être bien ses derniers. Tu le pris par le derrière de sa nuque et fracassas violement son crâne contre le coin de la tombe à plus d’une reprise. Tu voyais bien qu’il se débattait de manière naturelle, à la recherche d’un souffle de vie. Tu fis en sorte de cesser ses débattements en éclatant à l’aide de ta roche quelques une de ses côtes. « Alors comme ça tu veux te frotter à ma famille?» À ces mots tu l’avais rapprocher de tes lèvres rougeâtres comme le sang qui coulait du haut de son crâne. Tu le fracassas une dernière fois pour le laisser tomber par terre. « Ça serait si dommage d’en finir là, maintenant HAHAHAHA! Aller, crois-moi, tu vas t’excuser et tu vas demander pardon à ma famille aussi longtemps qu’il faudra que tu souffres mon petit bonhomme HAHAHA!» Sur ce, tu le trainas jusqu’à ta caverne, préparant soigneusement tes outils, tu avais prévu de le faire souffrir, mais pourtant ne pas le faire mourir - c’était ça le pire.
Cain von Heimdall
Cain von Heimdall
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Re: Dead end - Chopin écrit le Mar 16 Juin - 0:51
Musique -
Tu n'as pas le temps de réagir, pas le temps de ciller d'un cils que tu sens ce contact froid sur ta nuque. On jurait qu'un démon venait faire son apparition. Cependant, tu n'avais pas peut réalisé ce qu'il arrivait que tu t'envoles. Ton crâne s’écrase sur la pierre tombale la plus proche. Le souffle coupé, tu n'as même pas eu le temps de te demander pourquoi, comment. Tu ne savais rien. Ça te semblait irréel & pourtant la douleur était tel qu'un son strident commençait à bourdonner dans tes oreilles. Noir, noir. Tu ne vois plus & n'a plus qu'une certitude : c’est d'avoir entendu ton crâne se fendre.

Tu déglutis, recouvrant doucement tes sens, tu cherches indéniablement l'air qui t'avais manqué sous le coup. Tu as mal, tellement mal. Tu te tords & un second impact se fait. Il t'arrache un cri de douleur, un cri d'animal blessé ; cette fois ce sont tes côtés. Brisées, détruites. Tu perds de nouveau ton souffle, les poumons se mettent à te brûler. Ah, douleur.

Tu crois apercevoir un visage teinté de blanc & de rouge, tu ne le reconnais pas. Ce visage, il t'es inconnu. Tu es loin de chez toi, tu es si loin de ton seul abris, de toutes tes responsabilités et pourtant te voilà à jaillir au sol comme un vulgaire bétail qu'on viendrait pour égorger. Tu souffres & te noies dans l’incompréhension tandis que ton bourreau te fais ses reproches. Alors comme ça tu veux te frotter à ma famille? Disait-il. Famille ? Mais de quoi parlait-il ? D'Earthea ? Tu savais que c'était un peuple très soudé, mais à ce point ce serait de la folie, notamment que tu n'avais fait que les maudire en ton fort intérieur. Ce type était fou; complètement fou ce n'était pas possible autrement.
Un autre violent coup se porte à ton crâne; t'as l'impression de littéralement explosé & tu hurles de tout ton saoul. Tu tombais de haut. Tu t'écrasais dans tout les sens du termes. Tu pensais avoir passée une mauvaise journée ? Ah ! Tu n'avais encore tout simplement rien vu. Tu n'avais encore rien vécu. On te l'a toujours dit: tu es trop naïf Cain & un jour cette belle naïveté te coûtera quelque chose. Aujourd'hui, elle te coûte plus cher que tu ne l'aurais cru.

Ça serait si dommage d’en finir là, maintenant HAHAHAHA!Tu frissonnes. Tu réalises doucement que c'est de la peur. Elle était très différente de celle que tu connaissait. Disparaitre sans comprendre pourquoi, sans connaitre le nom & le visage de ton agresseur. Foutaises ! Tu pouvais pas. Ce n'était pas possible. Non. Non. Non. C'était impossible, ça ne pouvait pas arriver tout simplement. Tu n'y crois pas, c’est un mauvais rêve, c'est encore un mauvais rêve. C'est ce que tu te dis jusqu'à que la douleur te rappelle à l'ordre.
C'est réel.

Aller, crois-moi, tu vas t’excuser et tu vas demander pardon à ma famille aussi longtemps qu’il faudra que tu souffres mon petit bonhomme HAHAHA!Il continue de proliférer des mots qui n'ont aucun sens à tes yeux. De toute manière, tu n'en comprend que la moitié. La douleur dans ton crâne et si intense que tu n'arrives même plus à réfléchir correctement. Tu cherches juste à trouver un peu d'air, tendant misérablement les bras comme si cela t'apporterais un quelconque échappatoire. & Lui, lui, il te traine dans la boue, dans la misère & tu t'enfonces à ses côtés dans les ténèbres. Tu essaies de te débattre, te t'accrocher à la moindre chose qui entrait en contact avec tes mains: en vain. Il s'arrête. Tu cherches à reprendre le contrôle sur toi-même, tes membres t'obéissent plus. Ils sont figés par la peur. Tu cherches le courage de te relever légèrement, d'observer là où il avait pu t'emmener & y découvre de la compagnie. Sauf que tes camarades avaient déjà été victimes de ce malade & il ne restait d'eux que des bout de viande froide.
Ecoeurant.

La simple vue du décor sinistre dans lequel tu venais d’atterrir te donnait des haut-le-cœur. Ton bourreau entre de nouveau dans ton champs de vision, tandis que tu es tordu par la douleur. Ses mots raisonnent encore quelque part en toi tu vas t'excuser & tu ne peux pas t’empêcher de penser que tu souhaites sa mort comme celle de tout les habitants de ce peuple.
Enflures.

«Va te faire foutre. » Rétorques-tu dans un accès de courage ou de totale inconscience. Tu ne le connais ni d'Eve, ni d'Adam & souhaite déjà voir son corps pourrir dans un recoin encore insoupçonné. Tu le hais. Tu le hais. Tu le hais lui et tout son peuple. Tu n'échapperas pas aux desseins qu'il t'avait imaginé, alors t'avais plus grand chose à perdre à ouvrir ta foutue grande gueule pour une fois.

«Va te faire foutre, toi & ta maudite famille. T'es complètement taré, va te faire soigné avec tes putains de cadavres. »
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Re: Dead end - Chopin écrit le Jeu 25 Juin - 4:13

MUSIQUE (conseillée) ► «Va te faire foutre. » Te disait-il. «Va te faire foutre, toi & ta maudite famille. T'es complètement taré, va te faire soigner avec tes putains de cadavres. » Tu lui faisais dos, mais tu te retournas rapidement pour lui faire face. Tes pieds épousèrent les flaques de sangs d’un rouge sombre, claquant dans le liquide pour t’avancer vers ta proie. Humblement faible, tu lui souris grandement, même un peu trop grandement au point de douter du sens propre que reflétait la définition sourire.  Le squelette de ta main vint s’afférer sur le visage blême de ton nouveau compagnon. Tu le trouvais fort indécent d’employer un tel langage devant toi, le pilier de ta famille. Tu lui aurais bien laissé une chance, mais à quoi bon après tout? Aussi bien montrer les bonnes manières immédiatement.  

C’est alors que tu fis un rapide aller-retour des chaînes à la main et un petit ustensile dans ta poche arrière gauche. Avec le plus grand plaisir qui animait ton rire, tu enchaînas précieusement ta proie. Tu serras affectueusement les liens, qui maintenaient l’arrivant et tu pris sa mâchoire entre tes mains pour qu’il te fasse face. « Alors tu as un joli minois dis-moi! C’est sûrement ta maman et ton papa qu’ils te l’ont fait? Oh mais attend une seconde. » Tu te rapprochas de son œil gauche. « Mais oui! Tu vois ce que je vois? Un œil qui n’est pas symétrique à l’autre! Heureusement pour toi, j’ai ici dans ma poche gauche un outil qui t’aidera à régler ton problème. Tu vas VOIR, ça t’ira à ravir.» Tu pris ta cuillère et leva sa paupière pour venir planter le bout de ton outil sur la courbe de son œil. D’un seul coup, tu la plantas plus profondément pour ainsi le faire pendre sur son visage en s’assurant que le nerf optique soit assez résistant pour le maintenir là. Tu quittas quelques secondes pour revenir avec un miroir. « Regarde-moi cette beauté! Il faudrait arrêter mon petit d’être si beau que ça hein HAHAHHA! » Tu pris à nouveau le revers de la cuillère et commença à découper soigneusement le nerf optique, sachant que le couper comme cela allait prendre des siècles. Ce qui rattachait son œil à son visage lâcha aussitôt et tu le rattrapas ensuite pour le mettre entre tes mains et l’écraser brusquement. « Oups? HAHAHA ! Ne fait pas cette tête voyons! Un œil de perdu, dix de retrouvés n’est-ce pas? »

Cette fois-ci, tu pris une roche que tu avais il y a bien longtemps de cela aiguisée pour en faire un mini couteau. « Regardez-moi ces doigts! Ils auraient besoin d’une petite coupe ne croit tu pas? » Et, en prenant le petit doigt entre les tiens et commença minutieusement à cisailler. « Bon, alors je te laisse une autre chance de te sauver des doigts? Comment as-tu traité ma famille et mes mort?»

/j'ai fait court, mais sinon Chopin t'aurais déjà tout coupé donc.../
Cain von Heimdall
Cain von Heimdall
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Re: Dead end - Chopin écrit le Sam 11 Juil - 3:44
Musique -
Une véritable décente au enfers. C'était un cauchemar. T'avais rien demandé, tu voulais juste avoir la paix & là encore  c'était comme si tu demandais l'impossible. Tu entend un tintement, il reviens, chaînes à la main: il n'en a pas fini avec toi. Tu n'as aucun issue. Tu as beau regarder partout ou tu peux, tu es fait comme un vulgaire rat. C'était minable. T'étais faible. Tellement faible. Tu avais grandit à l'abri de tout danger. Comme préservé de tout ce qui existait en dehors de cette cage qu'était le temple. Et maintenant ? Maintenant en plus d'être incapable d'aider les tiens t'étais avant-tout incapable de te protéger toi-même.

Faible. Faible. Faible
Tu réalises que c'est ce que tu es & ça te frustre. Tu détestes cette image de toi. Tu maudis les dieux de t'avoir rendu aussi impuissant.

Ton bourreau t’enchaîne. Tu es sa proie. Tu es à sa merci. Il attrape ton visage entre ses doigts et tu le fixes d'un air froid. Tu lui lances ce regard noir, ce regard plein de mépris. Il semble alors prendre un certain malin plaisir à observer ton visage qui deviendra alors son tableau. Tu sais que quand il en aura finis avec toi, il te présentera comme son oeuvre. Pitoyable.

Il détails alors tes yeux. Asymétrique. L'un bleu & l'autre dorée & ce fût le noir total. Il extrait ton oeil se son orbite & ça t'arrache un nouveau cri de douleur. Tu hurles à t'en enflammer les poumons. Tu ne vois plus rien, noir. Noir. Noir. Noir. Noie. Pourquoi tout es si sombre ?!

«Putain. Putain. Putain. PUTAIN. » Tu cherches à te débattre, à fuir, mais chaque mouvement irrites un peu plus ta peau contre les chaines qui te retiennes en otage. Tu ne peux rien faire quand bien même tu le souhaiterais du plus profond de ton être. Tu es juste condamné.

Il te suspend un miroir sous le nez, t'arrives à peine à le fixer & lorsque tu croises ton reflet; tu ne te reconnais même pas. T'as des hauts le cœurs en voyant ton iris bleu suspendre. Horreur.

Il te l'arrache. Il l'écrase. Il se moque ouvertement de toi & tout ce que tu peux faire: c'est souhaiter qu'il pourrisse en enfer. Tu le jures devant tout les dieux que si tu sors de cet enfer, tu le retrouverais pour lui en faire vivre un bien pire. Tu allais le faire brûler vif.

Il souhaite t'avoir petit bout par petit bout & la douleur elle te fait doucement perdre la tête. Il te parle & pourtant tu rigoles. Tu ne comprends rien à ce qu'il te racontes. Ses mots te sembles dénudé de sens.

«Meurs. » C'est tout ce qui arrives à s’échapper de ton esprit qui commence à se distordre. «Ça fait mal tu sais ? Tu te perds entre les rires & la douleur. Ton visage se déforme plus qu'il ne l'est. Ça fait vraiment mal.

Ton seul point de repère vis à vis de la réalité restait encore la douleur. Tu essaies de rassembler le peu d'esprit & de consciences qu'il te restait.

Je ne pense pas que ta famille voudra de moi tout comme toi parmi les tiens. Alors, bouge. BOUGE PUTAIN.

Tu voulais juste rentrer.
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Dead end - Chopin

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