Nebula
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I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann

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I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Lun 8 Juin - 15:51
† † †

Lieven Engelhmann,
Surnommé Neven
Une vingtaines d'années
Masculin au coeur de plomb.

Okeanos invétéré,
Qui s'occupe comme il peut
en déambulant.
Lieven. Il n’est pas touché par un masque d’une beauté intemporelle. Pas celle qui sublime, celle qui attire, sauf peut-être celle de la grâce que lui confère sa jeunesse. Et encore, elle semble s’étioler peu à peu. Il n’a qu’un visage aussi fantôme que le reste de son anatomie. Sa peau lui est même semblable, elle se tend sur ses os et par-delà ses vêtements, se craquelle sous une étreinte avenante et pleure en silence au contact d’une chaleur bienveillante. Il respire le frais, le nouveau, la candeur splendide. Lieven en jeune éphèbe, il respire le frais, le courant d’air glacial là contre soi. Mais il n’est pas froid le courant. Il rafraîchit, il dessine les courbes de plaisirs, il est la lice dans le vent, la rose dans le sang. Le voile sur le temps.

Lieven, il n'est pas plus grand qu'un autre, il se fond dans la masse environnante. Il n’y a pas de compassion, pas de mépris dans ses yeux. Pas de sentiment puissant pour tout son être entier, pourtant, une étincelle ésotérique déforme ses prunelles azurés. Lieven, il n’y projette sa nature profonde que dans le miroir de son propre regard, cette nature profonde qu’il s’est imposé. Eparpillant ses sentiments teintés et désespéré qu’il s’y reconnaisse le plus. Comme une perle, silhouette qui tantôt plaît et tantôt ne plait pas, sous une couche somptueuse de nacre qui cache une affreuse fêlure. Des cheveux qui se dressent. Une carcasse qui se revêt de son manteau sombre, aspirant toute vues pour ne faire qu’un avec les paysages qui l’entourent. Une silhouette pleine d’aisance et d’assurance, qui trouve, se délit et déambule encore. Les traits réguliers de son visage lui donnent un air faussement angélique et son sourire à faire fondre les neiges éternelles ont abusés plus d'un pragmatique.

Mais quelque chose attire toujours chez Lieven. C’est son regard. Des yeux si clairs que l’on en discerne d’autant plus les beaux bataillons de ses pupilles aussi azurées. Ses yeux, ils ne sont plus chauds qu’une tempête de neige, ils ne sont pas plus chaleureux qu’une vipère. Ils sont corrosifs à l’âme. Ils étiolent, ils martèlent sans scrupules, ils sont propre à une douce lacération, comme des serpents blancs iridescents. Pourtant, la température de ses rétines doit frôler le zéro absolu. Il n’y a que des lueurs d’obscurité, quelques flammes et cette sorte de lumière noire. Celle qui l’aveugle étrangement. Ce qu'il voit, il a peine à croire. Croire que cet être est sien, est lui. Croire qu'il accueilles les gens avec cette face. L’impression d’être l’objet constant d’une expédition punitive. Pourtant, il ne se décourage plus à chaque fois que ses yeux croisent les siens. Des lèvres qui bercent, des lèvres qui châtient pourtant. Un naturelle à faire pâlir autant qu’il ne l’est.

You want to know... What I am ? That's easy. All you have to do is look at me. I'm alone in the dark.


Lieven, c’est un bouton pause, c’est l’arrêt de l’horloge, la cristallisation. Il cristallise l’âme, il gèle les rides, il fatigue Dieu de son sourire. Il a le sourire qui brûle tout. Mais il ravage, pire qu’une bombe. Il est une bombe, moitié ange moitié démon, un fléau humain. C’est risible une vie et Lieven n’est pas mieux que les brebis galeuses qui peuplent la société. Parce que Lieven, il vous prend à la gorge, son rire coule sur vos joues, comme le désir et la rancœur qu’il vous apporte et vous procure suavement. C’est le type qui possède un sourire cajoleur, un sourire narquois, un sourire acide. Parce que ses lippes dévorent, copieusement, qu’il soit féminin ou masculin, qu’il doit chétif ou englobée dans une généralité.

Il chaparde chaque désir au creux des lèvres en susurrant quelques paroles. Lieven, il a la saveur d’un éclat dépeint. C’est corrosif, cela s’insère sur la bordure de la peau, qui vient grignoter et dévorer tout entier. Quoi qu’il fasse, on le remarque, ce quelque chose dans ses yeux et à ses lèvres, ce quelque chose que personne n’arrive à voir. Un sentiment fermé dressé sur son visage, à l’encontre de son faciès, visible à même la peau. C’est quelque chose d’inscrit sur ses traits sans expressions, quelque chose de profondément inscrit sur sa vie. C’est comme un verre brisé sur un parterre de fleur, elle est là, palpable. On ne sait pas quand elle est arrivée, mais elle s’est entendue et elle se sent aujourd’hui.

Toutes les pensées de chaque esprit, vous pouvez les dire à ce jeune blond. Ici, avec lui, vous n'avez pas peur, vous pouvez vous perdre dans une infinie torpeur. Fermez vos yeux. Il est l'endroit où vous pourrez vous reposer quand vos rêves deviennent aveugles. Il est le souffle qui vous manque. Et quand vous vous réveillez et si vous êtes cassez, il ne sera pas loin, où que vous soyez dans le silence de votre âme. Si vous êtes ici pour lui. Il est ici pour vous. Pour l'éternité. Chaque geste, chaque parole sont ravageurs. Chaque main tendue, chacun de vos mots, il les suce du bout de la langue et les envenime avec ses yeux de glace. Il sait se faire épéiste, il sait se faire commercial, il sait se faire désirer, il sait.

Il remplit un vide, comble le manque et instaure un équilibre nouveau à l’intérieur d’un esprit, qu’il soit dans le flou, dans la curiosité, le désir ou la haine. Lieven, c’est comme un papillon emprisonné sous une toile. Il flottait sous un ciel peint, et maintenant, il possède cette tâche translucide, peinte à ses pupilles, qui glisse sur son visage et serpente la courbure de ses lèvres, finissant sa course en salissant sa chemise. Et sa voix ne résonne plus, et ses membres ne bougent plus. A l’intérieur, cela s’entrechoquent, et comme au fer rouge, cela hurle. Mais personne ne le voit.

Quand on regarde Lieven, elle ne se voit pas. On ne voit que cet esprit tranquillisé, qui pour les autres composera. Mais quand le silence retombe, la réalité se corrompt. Et ces pensées résonnent dans sa tête creuse, tirant avec frénésie sur les liaisons de ses neurones, de ses nerfs. Cela peut déraper et se briser à tout instant, comme un verre, comme un miroir. Ils éclatent en mille morceaux, éparpillant quelques bouts d'incertitudes douloureuses, de rancœur lugubre, de folie malsaine, de rage prête à exploser à la gueule de qui-veulent comme le plus ravageur des acides. Parce que Lieven à peu être docile, il y a des fois où cela ne va plus.

Dès moments où tout éclate. Mais s'efforce d'y faire face, parce qu'il est docile. Un comportement versant dans le vagabond d’une curiosité inassouvie. Il n’est pas un mirage, il n’est pas une illusion, il ne disparaît pas lorsqu’on ferme les yeux. Lui-même qui vrombit de saluts soyeux, sous son regard de tourment qui colle à la peau. Dès l’instant où l’on le remarque, on sait qu’il à quelque chose de précieux, mais rien n’y fera, tant que Lieven est là. Mais Lieven, ce sont des paroles glacées, mouvante, absente.

Elle trace derrière chaque syllabe un sillage à la fois si forte et si faible, et tout ce que l’on trouve quand ses lèvres se referment, c’est un silence qui pose des questions.  Elles se sentent si fort, mais le voile des sentiments est absent. Elle oscille parfois, un maigre sourire qui peint le visage, sans doute depuis cela qui l’a rendu plus franc et égoïste à la fois. Vis-à-vis des mots, des sonorités, de tout. On voit que les sentiments ne sont pas décantés. Que l’équilibre présent vacille, prêt à se rompre pour mieux chuter encore. Que d’émotions crues, entre un corps déjanté et plein de désirs. Son tempérament s’écoule dans la nuit, écrivant des doigts inspirés, cherchant jusqu’à trouver. Elle râpe en s’effeuillant dans un sommeil léger.

Mais Lieven, c'est une bulle de savon son monde, peut solide et peu stable. Quelque chose qui ne dure pas assez longtemps, et quand cette bulle de savon éclate, les dégâts sont assez importants, parfois. Et le blondinet a vu le monde prendre une certaine direction. Les frissons qui se ressemblent tous, les sentiments qui sont faits de la même chose. Lieven, peut-être se répète t-il que son ambition est anéantit, drainer par l’envie d’une autre. Lieven, il s’est perdu depuis un petit moment, mais il se convainc du contraire. Tenus par ces fils, se brisant, il s’écrase lamentablement en contrebas. Parfois félin, son grondement rageur bourré de vilenie souffle comme le plus virulent des acides. Lieven, c’est un papillon tenu de compassion, parfois, de sentiment, rarement, un vide, souvent.
Ce souvenir ...

Il se rappelle des cieux noirs, la foudre tout autour de lui. Il se rappelle de chaque flash quand le temps à commencer à se troubler. Comme un signe stupéfiant que ce destin lui avait finalement trouvé. Puis, il se rappelle de la neige fondue s'écoulant dans les ruisseaux, et sous les pétales de fleurs portés par le vent du printemps, qu’il ne savait pas réellement ce qu'il souhaitait, puisqu'il a cessé d'espérer qu'on lui donne des ailes. Cette civilisation bâtie sur les squelettes rachitiques des malheureux, sur la cupidité et la richesse, la connaissance des autres. Le monde s’est scindé en plusieurs et les entrailles de l'humanité de Lieven coulent dans un cœur ouvert et tortueux.


Si près de moi...


Il voit des ténèbres aux alentours. L'enfer est pire que tout ça, habitation naturelle. Juste une rime sans raison. Labyrinthe sans fin, ses jours sont comptés. Maintenant sa vie est démodée. Parce qu'il faut ouvrir la porte. Il faut le laisser entrer, le laisser prendre pour qui il est. Il faut tendre la main et se promettre de reprendre le contrôle de sa vie. Le vide est omniprésent, avale sa raison. Chaque pièce, même si elle a été soigneusement décorée transpire de cette impression de vide. Il n’y a rien ici, pas de vie, pas de paroles.

C’est une image, un souvenir. L’occupant des lieux vogue sans but, semblant lui aussi être perdu dans ce dédale qu’il ne semble plus être en mesure de comprendre – d’arpenter.  Il n’y a qu’un lent silence qui divise l'air de la pièce. En fait, Lieven, sa conscience se promène, elle se démène. Elle lutte contre le courant, se préservant dans sa propre bêtise. Quand bien même il sait que ce n’est que tromperie qu’il se fait à lui-même. Il continue à croire à ce fameux changement, il continue d’y songer. Il se fait du mal Lieven, il le sait. Parce qu’il y aura toujours cette douleur.

Lancinante.
Eclatante.
Foudroyante.


Et il y a aura toujours ce silence. Il y aura toujours cette concentration au possible. Il y aura toujours autant d’attention qu’il ne souhaiterait. D’ailleurs, on lui avait posé une question. Simple. Sans contrefaçon. Le problème avec Lieven, c’est que les pensées sont là, partout. Elles grimpent le long de sa conscience, sautent les parois de ses synapses, chuchotent sans fins des phrases détricotées sans réellement but, sans passé, sans lendemain. Mais la barrière de ses lippes les empêche d’être alphabétisés. Il garde pour lui de pensées murmurées, comme un clébard gardant son trésor.

La pensé d'être seul te fait ravaler ton espoir.

✛ ✛ ✛ ✛ ✛ ✛ ✛ ✛ ✛ ✛ ✛

Parce qu'au fond, peut-être qu’il s'ennuie. Que ses instants sont moroses. Qu'il souffre d’un mal inconnue qui le distord. Que ses nerfs, ses muscles, ses tendons, beaucoup trop éveillés, raillent son esprit somnolant. Qu'il essaie d’enterrer ses mémoires, mais que le cimetière qu’est ainsi devenu son crâne se voit trop souvent hanté par ces illustres fantômes. C’est comme si avec lui l’atmosphère perdait toute sa crédibilité. Des pleurs flageolants en perpétuel accord avec l’ombre, ulcérant les espoirs, s’insinuant en son sein pour se répandre lentement, comme une marée invisible.

L’écume d’eau qui coule jusqu'au fauteuil, se noyant au cœur meurtri sur ce sol. Comme un tombeau. Que le vent qui l’enveloppe doucement transforme les fantaisies chimériques, de ses perles salées sur ses paupières closent, fragment de raison en permanence dévorés.  Peu importe le nombre de fois où on lui a dit de ne pas partir, il se bat continuellement pour un dernier soupir. Là tout s’effondre avec lui, toute tombe. Oui, ça tombe comme dans une longue chute, et les murs s’étiolent, le temps s’effrite, puis il y a aussi l’usure, il y a l’usure du monde, ses mains éraflant les murs. Il veut simplement que quelque chose se passe.

Croyez-moi…

Il est fatigué d'être ce que vous voulez qu’il soit, se sentant si incroyablement perdu sous la surface. Il est en train de devenir ceci, tout ce qu’il veut faire est d'être un peu plus comme lui et un peu moins comme vous. Mais Lieven, il est plutôt docile, se pliant comme un roseau sous la caresse du vent, d’habitude. Parce qu’il est fort Lieven, il est courageux. Mais même l’endroit le plus familier ne lui dis plus rien, à part quelques souvenirs, là qui demeurent, mais qui s’étiolent au fur et à mesure que la misère s’installe. Il les voit bien les gens comment il le regarde.

Errance.

Depuis qu’elle l’a quitté, ou peut-être se fut l’inverse, le jeune homme a l'impression d'être en errance. Du matin jusqu'au soir. Il a l'impression de voyager dans un rêve. Pas l'un de ceux là. Pas l'un des bleus, des beaux. Pas l'un fait des choses qui font sourire au matin. Non. Plutôt quelque chose d'irréel. Quelque chose qu’il est allée chercher au fin fond de son imagination, de celle des autres. Comme s’il avait pris tout ce qui se trouvait dans sa tête, dans son corps. Toutes ces choses entre aperçues, entre vécues et qu’il lui avait donnait vie, autrefois. Et que toutes les personnes autour de lui en avaient fait de même. Comme si ce monde avait été créé de toutes pièces. Étiré, modifié, recoloré. Sans logique ni raison. Cependant, il n’arrive plus pas à comprendre ce, ces mondes. Mais il n'essaye même pas de comprendre.

Regardez-moi…

Et le jour se lève, encore. Le bois crépite, résonne d’étranges litanies, c’était un bruit tellement puissant qu’il avait dût se couvrir ardemment les oreilles pour résister à ses grésillements intenses. Ou peut-être résister à ces mots égrenés, à ces gouttes de conscience brisées, qui sont juste là, mussées quelque part, et qui se fondent ensemble, rongés dans les rouages de l’affres, cachés sous cette pureté immaculée. Ne pouvez-vous pas voir que vous êtes en train de l'étouffer, le serrant trop fort apeurés à l'idée de perdre le contrôle. Parce que tout ce que vous pensiez qu’il serait, s'est effondré devant vous.

Chaque pas qu’il fait est une autre erreur à vos yeux et chaque seconde qu’il gaspille. Quand bien même ses larmes sont aveugles, que ses plaintes sont sourdes, que ses caprices sont futiles. Un supplice amer, délice d’être ce qu’il est aujourd’hui, dorénavant. Une course lancinante vers un endroit qui jamais n’avalera ses craintes, mais se régale de ses plaintes. C’est juste un jeune homme dévorés par la terreur, tué par ses peurs, pétrifié par son corps mortifié. Une divine comédie, soumis au sinistre souverain de sa conscience.

C'est plus que je ne peux supporter
Pendulum - 19 ans - Mikaela Hyakuya - Owari no seraph
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Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Lun 8 Juin - 16:07
mikaaaaaaaefgdegfdg/BAAAM/. ♥️♥️♥️
bienvenue sur le forum liev', ta fiche est toute jolie. LA

par contre, trop de nomades.
tue les nomades.
adieux les nomades....
:tears:
Edelweiss Roselvia
Edelweiss Roselvia
Messages : 255
Date d'inscription : 10/05/2015
Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Lun 8 Juin - 16:08
MIKA. MIKA. I LOVE YOU SO MUCH YOU KNOW ? My kokoro fait dokidoki.
Bienvenuuuuuuuue !
Ta fiche est toute jolie. ♥
Invité
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Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Lun 8 Juin - 16:18
Trop de charisme.
Je fond.
Amour sur toi et bienvenue ♥
Invité
Invité
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Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Lun 8 Juin - 16:26
Oh merci merci *O*

Pour le groupe, en fait je ne savais pas entre Nomade et Okeanos, mais j'ai vu qu'il manquait donc je peux mettre Lieven en Okeanos et non Nomade ?
June Von Rosenbach
June Von Rosenbach
Messages : 344
Date d'inscription : 02/06/2015
Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Lun 8 Juin - 21:05
GO GO OKEANOS aiden il rit comme u

Bienvenue à toi, ta fiche est superbe !
Zackary Wise
Zackary Wise
Messages : 753
Date d'inscription : 24/04/2015
Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Mar 9 Juin - 2:15
Je trouve ta fiche toute mimi adorable haha ! Y manque plus que l'avatar pour la validation PARFAITE please
Invité
Invité
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Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Mer 17 Juin - 10:42
June : Merci beaucoup, vive Okeanos ♥

Zachary : Merci en même temps Mika est mimi :3
Invité
Invité
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Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Mer 17 Juin - 12:11

Nebula te salue !





AAAAAAH Lieven ♥️ sublime fiche et en plus /MIKAELA HYAKUYA MY SON What a Face/. Donc voilà est-ce que j'ai quelque chose à rajouter mis à part que ton personnage est superbe et que tu écris MAGNIFIQUEMENT BIEN ?? Je te valide petite bulle de savon ♥️ et bienvenue hihi.

Je t'invite à aller faire ta fiche de relation et/ou de faire une jolie demande de RP si tu es déterminé à écrire ton histoire avec les autres joueurs !
N'hésites pas à garder le guide de Nebula sous le coude ! Ah, et il ne faut pas oublier le bottin des avatars !
L'ensemble du staff te souhaite un bon jeu dans le monde de Nebula !
Rhéa N. Tomeïn
Rhéa N. Tomeïn
Messages : 860
Date d'inscription : 14/05/2015
Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le Mer 17 Juin - 12:13
Bienvenue ! Très belle fiche *w* j'ai adoré vadrouiller dedans~ ❤
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Re: I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann écrit le

I'm alone in the dark † Lieven Engelhmann

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